Receuil 1997/2005


Pour cette cause.
A cause d’elle, je n’ai plus la prétention de savoir
Qui sera ma dulcinée. Car, à force
De me voir rebouté dans mes choix, ce
Charme qui s’opère autour de moi à savoir,
Une vie que je ressasse et tellement
D’évènements tels des miroirs me ramenant
Chaque jour à faire un bilan de ma vie ;
Je me rends à une évidence qui
Est de représenter un échec pour les autres.
Chacun autour de moi, ami,
Parents, ennemis ; part de ses propres doutes qui
Se présentent pour tout un chacun de manière autre
Et me ramenant indubitablement à avouer
Mes propres fautes là où une tierce personne
Se voudrait innocente. Si j’ai
Un certain devoir, je ne puis aussi me vanter d’un trône
Quelconque. Ce n’est point car
Je veux accéder aux faveurs d’autres
Gens ou que je souffre des faiblesses des autres
Mais, plutôt que je ne puis être de par
L’éducation et le modèle de mon père,
De mon grand-père en me conformant sur cette terre
Aux manques de cohérence que je ne remarque que
Trop souvent chez mes concitoyens. Tel que
Je le vois, je n’ai qu’à m’effacer
Pour laisser la réussite des autres galoper.
Mouhamadou Falilou MBENGUE.
Goûts et couleurs
Goût pour les choses et saveurs envers
Outre les personnes, ce qui résonne comme
Un bonheur ou un malheur à travers
Toute expérience humaine et terrestre. Chaque homme
(&)
Connaît ses défauts ou à défaut ses qualités à travers
Outre ses expériences, ses ambitions. Ces vers
Unis pour retracer l’amour, le désir
Lancés à tout homme par le poète
Etalent la forme de sa quête pour finir
Un jour dans sa vie, à une fête
Resplendissant la beauté humaine.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Incertain d’un destin
Oh ! Divine présentation des choses.
Oh ! Divine manifestation de cet esprit
Qui me pousse aujourd’hui à réfléchir à cette prose.
Je t’assure que cela n’est en rien pis.
Infinies semblent être tout ce que je voudrais
Bien te faire savoir avec tout cela que j’aimerais ;
Te souffler au cœur de ton oreille.
Toutefois, jolie jeune fille
Je ne puis résister à cet appel
Qui fait résonner dans mon cœur
Milles et unes excuses, des phrases, des questions et d’autres telles
Des réponses. Tout ce que je sais mon cœur,
C’est que mes explications comme pour moi
Ne pourrais pas t’apporter de réponses.
Mais, pourtant je me sens à l’aise et je pense
Que cette question telle une confusion vient de moi.
Car, mon cœur me dis, de te suivre. J’aimerais
Ainsi t’entendre me dire des
Mots d’amour. Car, d’amour pour l’heure
Il s’agit de ce dont je puis t’enquérir, mon cœur.
Mouhamadou Falilou MBENGUE.
Mon père.
Mon Dieu, que n’est-il trop beau pour lui ?
Orageux comme personnage, je le sais lui,
D’une grandeur d’âme qui est
On ne peut plus noble. Je le sais
Uni avec sa piété.
Maintes fois l’ai-je craint dans ma vie
Outre pour sa dignité, sa personnalité ;
Une fois qu’il m’a sourit,
Seulement, ai-je su qui est-ce qu’il est.
Toujours en situation de travail, il est.
A moi, il a inculqué son éducation,
Plusieurs années durant. J’ai été un
Hôte dans sa demeure car, de cela ma raison
A t-elle tiré sa ressource pour affronter chacun
De Ces
Malheurs ou mystères de ma vie pourtant si courte jusqu’alors.
Bien des fois alors, me suis-je agenouillé
Entre quatre murs devant Dieu et mon sort
Ne sachant plus combien je pouvais l’aimer.
Garant de ma dignité,
Une fois pour toute je voudrais
Elever mon amour jusqu’à lui, mon père.
Mouhamadou Falilou MBENGUE.
LA FRANCE
La France dans ma jeunesse m’a été conté ;
Mes plus proches parents ayant relayé
Mon père dans mon éducation.
De milles façons
Différentes, je l’ai vu
Dans toutes ses coutures belles.
En elle ai-je pu voir tout ce qui m’a déplu.
On se plaisait à rédiger nos projets pour elles,
Ils me parlaient de toutes ses
entreprises. J’aimais en rêver.
Elles étaient pour nous afin de survivre
Dans nos dignités et nos principes. Vivre
Mieux passerait aujourd’hui une fois de plus
Pour nous fils d’ailleurs, d’Afrique, par ce sacrifice :
Nous devons nous évaluer face au poids
De l’histoire ; à l’héritage culturel ;
Que nous véhicule les écrits. Eux, mes « moi(s) »,
Mes parents et mes maîtres me mettaient avec elle :
L’école, à l’eau ; pour une recherche de tout
Ce que j’y retrouvais
Et que je considère encore pour nos fils en tout ;
Comme ce qui reste vital pour la renaissance de l’Afrique. Chez
Eux tout était magique grâce, à tout
Ceux que j’y retrouvais pour chanter ou
Prendre mes leçons et courir à travers
Les idées qu’on nous faisait assimiler.
Des chevaux et une faune florissante pour faire de nos espaces
De bonnes choses faisaient que toute espérance de faire flores
Représentait, pour moi, réussir vers eux qui paraissaient
Toujours se développer encore plus et ;
Au sortir de l’enseignement
Primaire, garder mes proches et voir en
Tout le monde à « Adja Mame Yacine Diagne »
Des frères et des sœurs. Pour finir ;
Je me retrouve ; à travers la France, l’Espagne
Et d’autres pays que je n’ai pas pu découvrir ;
Mais, pourtant avec beaucoup d’amour, à donner et pour finir
A remercier le bon Dieu
D’avoir créé les hommes aussi différents que nous et eux.
Pour elles nos femmes et pour mon amour que je ne puis définir.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Fortune.
N’auriez-vous pas remarqué la volubilité de notre temps ?
Oh ! Je parierais mon bonheur que si, évidemment.
Saches que toutefois, elle me vaut son pesant de diamant.
Tellement, l’histoire que je vis est passionnée et déchirée ; déchaînée.
Ardant est notre bonheur à moi et à ma dulcinée.
Lente et précise, l’aiguille du temps ;
De piqûres en entailles,
Telle cette glaive vaillante à la bataille ;
M’a lambiné le cœur.
Indubitablement, elle m’a orienté vers cette fleur
Et m’en a porté seul garant et seul détenteur mais
Aussi et surtout, seul prospect.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
AFRICA
Pour une unité au galop,
Pour une entente cordiale
Des hommes se rassemblant ; elles,
S’épaulant et l’Afrique trop
Vieillissante, je me suis tut.
Parce qu’une union n’est
Jamais sans douleur ; je fus
Trop aveugle pour ces
Ames qui souffrent.
Aujourd’hui, je me meurs
Dans les souffrances de ceux
Qui l’aiment.
Elles sont si braves ;
Eux, si courageux ;
Ils sont si perdus, je
Souffre et je voudrais pour eux,
Que cela mette fin
A leurs veines errances.
Pour ceux qui n’ont jamais faim ;
L’Afrique ne se terra jamais.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
TRAITRE
Trahison pour toi,
Retards pour nous ;
Au pire, pour moi
Injustices et pleins de désillusions sous,
Tout le dévouement de toi,
Restant prés de moi ;
Et pour cette cause, à l’affaiblissement de cet avilissement.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Animalité
L’homme sans la femme ressemble
A un coffre fort plein de diamants
Dans un désert de sable,
Infesté de scorpions et serpents.
La femme sans l’homme ressemble
A un mot dans un dictionnaire sans
Soin. Car, dans le dictionnaire le mot ressemble
A un cadavre sous le sable. En
Cela qu’il faut lui faire l’amour pour lui
Rendre sa splendeur, sa famille, sa vie.
La place du mot figure parmi
Les dictionnaires et les écrits.
L’homme et la femme unis
Ressemblent au jour et à le nuit.
L’un est chargé
Durant la journée
De propager ses braises,
Labourant la terre pour y
Semer la vie ;
Laissant le reste du temps l’autre, pour qu’elle apaise
Seule en les épaulant dans leurs souffrances
Pour les aider dans leur survie, leurs fils.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
La vie
Pour tout bon croyant, elle signifie
L’accomplissement de son œuvre, au
Bon Dieu. Colossal, il se déroule au
Cours de la vie de la personne. Sa vie
Elle peut la vivre de milles manières,
La personne. Toutefois, il ait
Des barrières entre la vision de la terre
Promise aux projets de la personne et
Celle des faits de sa propre vie. Le
Cours du fleuve de la survie révèle
La plupart du temps l’essentiel des réponses
Aux questions du commun des mortels.
Ainsi, c’est aux plus méritants tels
Les plus pieux, les plus coriaces
Face aux défaites qu’elle nous
Fait subir, que la vie nous offre les
Bienfaits du mystère de la création. Nous
Pouvons aussi nous retrouver
A cause des malheurs qu’elle renferme,
A essayer de repousser la mort.
Malheureusement, c’est à ce moment qu’elle sème
La discorde dans le cœur de ces mortels. Or,
Toutes les fois où l’on veut le nier,
La mort vient nous rappeler
Son existence. Cruelle,
Elle se charge de s’inviter dans le monde réel.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Paris
Dans cette ville au rythme effréné,
Aussitôt que j’y ai pris mes marques,
Mes envies se sont décuplées.
En même temps, je ne puis que
Les tempérer au jour le jour.
Rien n’y est facile et
De plus en plus, de jour en jour,
Je découvre plus clairement et avec une lucidité
Et un discernement qui me sont imposés au détour
De tous mes itinéraires, mes faiblesses,
Mes insuffisances. Pourtant, quand je me surprend
A réussir là où je pêchais, je me dis
Que seul le travail paie. Aujourd’hui
Je sais que loin de sa patrie, l’on se prend
Forcément en main. On vit
Dans un esprit de survie et le quotidien nous y gît.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Nature
Dire que tout va à merveille
Serait totalement voué
Dans ce monde et sur l’espace temporel
Actuel, à combler
Ce vide présent prés de chaque
Etre humain. Ne serait-ce que
Pour se tenir compagnie soi-même ; pour que plus que tout,
Celui qui peut combler
Cette sollicitude étouffante,
Revienne ou que l’on aille le retrouver.
La vie de deux êtres qui s’aiment
Réellement d’un amour
Léger de par sa présence, pour
Un amour sincère de par sa manifestation, vaut en étrennes
Milles et unes courses aux trésors.
Aujourd’hui, gisant dans la survie, hors
Du gîte familiale,
D’une quelconque couverture sociale
Personnalisée ; peut-être serait-ce, en dehors
De leurs pouvoir de séduction et de leurs satisfaction
A notre ego à nous et à l’Amour de tout un chacun, la manifestation
De notre arrivée à la jouissance
Des fruits d’un travail de toujours acharné. En connaissance
Des conséquences des erreurs passées,
Des heures passées au service
Des autres, nous dirigerions nous enfin vers des
Objectifs nouveaux dans notre survie.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
L’école des stylos.
Première vision de la vie
Depuis la nuit des temps,
Et ceci, jusqu’à présent ;
Une bouée de survie
Pour moi et pour mon humanité, en
Cela je l’ai vu sous toutes les formes
Présente chez les autres. Sa force, est comme
Destructrice puisque démesurée.
Pour Dieu, nous nous devons de bouger
Les consciences et s’attacher
A la lutte pour la renaissance
Proche et viable de l’essence
D e notre présence sur terre.
Je me dois de le dire,
Seul l’amour peut nous mener à notre point de mire.
Mouhamadou Falilou MBE NGUE
La fête des nations
Pour que je puisse
Encore te redonner ma confiance,
Saches que cette prose n’est pas plus
Proche de notre objectif ; que cette chance,
De plus ; de s’approcher du but.
Notre vie ; à cet instant
Plus représentative de notre mue
Est due, plus à une souffrance qu’à un présent
Offert gracieusement. Ainsi,
Nous engageons nous dans notre
Poussée et ainsi, pourrions nous si ;
Le prix à payer aux autres
Est encore trop cher, nous rapprocher
De la lancée sur laquelle, se sont
Débattus jadis nos aïeuls. Pour ces raisons,
Devrions nous pousser
Notre étreinte avec la galère à votre
Sacerdoce et ; nous fondre dans
Le nouveau monde en octroyant
A la jeunesse de nos apôtres,
Le souffle qui leur permettra
De se forger dans cette fête et ; être
Dans cette communauté en grandir,
Un espoir pour notre avenir.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
L’échéquier

Dans ces temps où l’instruction
Nous amènes nous,
Les arrières petits enfants africains qui prions
Pour la renaissance de notre dignité, là où
Chaque geste, chaque
Inflexion de la réflexion, chaque
Pas et chaque humeur
Nous reflète à
L’esprit, une impuissance face à
La situation de tout de suite, maintenant ; Les sœurs,
Les parents et les amis nous obligent à nous
Redresser face à nos objectifs.
Chaque fois que j’y pense alors tout
Mon esprit reste pensif
De ces peines, malgré le fait que sous
Mes envies ou
Mes plaisirs et mes réussites,
Mes rêves d’aider au rassemblement
De parades luttant contre ces obstacles à une réflexion qui porte
Sur des solutions exactes et adéquates ; je me surprend
A échouer et à pêcher.
Pourtant là où je ne puis aller, mes frères pourraient parvenir. Mais,
La plupart du temps m’apprend t-on,
A l’arrivée mes torts m’arrivent
Par la faute de ces derniers ; on
Peut penser, à cause d’insuffisances preuve
De blessures passées ;
Par méchanceté,
Par haine pourrait on dire pour d’autres.
Que Dieux nous protège dans cette quête !
La politique
Parce que tout le monde
Voudrait bien y participer ;
Car, tout le monde
Aimerait s’exprimer.
La politique restera toujours
Ouverte à toutes les personnes.
Toutes les personnes
Resteront pour
Cette arme contre les malheurs
Ames et corps, dans les cœurs
Des uns et des autres,
Toujours réunies pour d’autres
Idéaux. Dieux, les prophètes,
Et tout le reste
Aideront toujours à
Départager ceux qui ont
Autres choses que la
Politique pour le faire. Sont
Réunies, toutes les personnes,
L’on sait qu’elles résonnent
De ce qui forme dans leurs cœurs,
L’espoir de côtoyer la peur,
Et justement les désirs
De ceux qu’ils servent
Depuis des années et, les rendent pires
Que des amoureux. Il arrive
Que l’intention soit
Mal ; où que les buts soient
Vraiment détournées des
Objectifs des autres. Les
Politiciens restent
Des personnes. Ils exigent
De leurs démocraties d’être juges
A la place des juges. Les restes
De la politique restent donc,
Acquis à la cause
De leurs juridictions. Donc,
Pour leurs familles et pour cause,
Un parti politique
Ne sert qu’à se respecter
Dans la démocratie. Et,
Il, se peut qu’on se fie à ce que
L’on y redoute. Le pouvoir
Reste acquis du moment
Que l’on participe aux débats
Et que l’on s’intéresse aux pouvoirs
Mouhamadou Falilou MBENGUE
LAIC
Le Sénégal s’est défendu
De son appartenance, envers
Ses colons, pour l’Islam. De cet héritage du
Plus lourd des fardeaux certes, sur terre
Progressons nous avec des objectifs concis
De réussite. Que ne ferions nous ici,
Pour leur rendre à eux leur
Dignité et leur histoire ? Nos pères, nos sœurs,
Nos mères sont les initiateurs de cette
Grande avancée vers un monde certes,
Tout de confort fait mais aussi et surtout,
Sans grand réconfort pour nous ;
Fils de martyrs. Au Sénégal
La laïcité nous préserve tant bien que mal
Des oppositions entre hommes,
Dans les idéaux religieux et au sujet de la morale.
Nous nous prévalons en somme
De cette culture qui nous cale
Entre paix et doutes. Nous avons
Un sacerdoce, car si nous revenons
A un Islam qui est le cheval de
Bataille de ceux de Touba, de
Tivaouane ou d’ailleurs chez nos
Familles religieuses, à nos
Enfants offririons nous la chance
De vivre éloignés des soucis allant avec l’échéance
De la vie humaine et aussi de l’échec qui
Peut l’accompagner, à l’appel de Celui Qui Donne la Vie.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Laïcité
Lors de notre passage au monde,
A Dieu et ses prophètes nous
Invitions nous à obéir avec ce vœux se trouvant être de
Chercher à atteindre le juste milieu même en étant sous
Influence du respect légitime des Droits et des réclamations {de}
Toutes les personnes dans la Nation. Des
Elèves sommes-nous donc envers ce respect.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Monsieur Modou Moustapha MBENGUE
Mon Dieu, que n’est-il trop beau pour lui ?
Orageux comme personnage, je le sais lui,
D’une grandeur d’âme qui est
On ne peut plus noble. Je le sais
Uni avec sa piété.
Maintes fois l’ai-je craint dans ma vie
Outre pour sa dignité, sa personnalité ;
Une fois qu’il m’a sourit,
Seulement ai-je su qui est-ce qu’il était ; celui qu’il est.
Toujours en situation de travailler, il est.
A moi, a t-il inculqué son éducation
Plusieurs années durant. J’ai alors été un
Hôte dans sa demeure car, de cela ma raison
A t-elle tiré sa ressource pour affronter chacun
Des
Malheurs ou mystères dans ma vie pourtant si courte {jusqu’à lors.}
Bien des fois alors, me suis-je agenouillé
Entre quatre murs devant Dieu et mon sort
Ne sachant plus combien je pouvais l’aimer.
Garant de ma dignité,
Une fois pour toute je voudrais
Elever mon amour jusqu’à lui, mon père.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
A ma Maman
Elle, qui m’a toujours éclairé de par sa vertu.
Elle, qui a toujours eu
Pour ma personne, de la sollicitude.
Tu m’inspires ces quelques mots maman, car de
Ma plume, pourrait
Jaillir toute la reconnaissance que j’ai
Pour toi. Je t’estime car, brave
Tu l’es ma mère. Je t’adore car, graves
Que ce puisse être, tu me protèges
De mes actes. J’ai ta nostalgie,
Car de ta chaleur, je
Nourris mon cheval de survie.
Ma vie, pour toi
Je la vis comme telle. Vois
Comme je me surprend à vouloir
Tout abandonner pour tes sacrifices ;
Tout remettre en cause, pour faire valoir
Tes mérites. Sur terre, ma place
Je te le dois.
Je t’accorde la propriété de ma voie.
D’habitude correct, je me surprend
A vouloir me mêler à cette masse, quand
J’estime que tu mérites le respect
Des autres. Pour toi alors, je suis prêt
A me rouler dans toute poussière
En attendant de te rendre grâce, ma mère.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Serigne Cheikh Saliou Mbacké

Seul dans un abîme de méconnaissance,
Enlevé très jeune que j’étais à mon univers de jouissance ;
Resté seul avec, mes parents car, sans ami,
Il m’a dirigé, guidé, façonné à une vitesse qui
Grandit de jour en jour ma personnalité.
Nul doute qu’à lui, je me donnerais. Car,
En ce monde, il reste le seul qui m’ait gardé de ce retard

 Chronique qui gangrène notre humanité,
 Hostile qu’elle est à toute reconnaissance envers la puissance
 Et l’unicité d’Allah. A mon guide, mon parrain !
 Il reste le lion à la place des lions. Aujourd’hui, ce
Kaftan qui m’a ramené chez moi, alors qu’en vain,
Haut sur mes principes je désespérais d’autres choses, me plait.

Serait-ce parce qu’on ne se mêle pas à la masse et
A tous les débats, qu’on peut-être pris à partie ?
 Le lion, est toujours à domicile. Si
Il s’instruit, il aide la nature, il régie la dominance
Outre intracommunautaire celle, sectaire. Je gît
Une fois dans l’espoir de le trouver et une autre, [dans celui]

Me poussant à me séparer de sa pensée. Est ce
Barké qui rime avec Mbacké ? Cheikh et Saliou vont ensemble,
A la rencontre de Mbacké. Ensembles,
Ces quelques rimes en guise de repentir, je sais que ni
Kafir ni fakir je ne suis. Je demandes une simple grâce.
Equilibre de ma génération, ces rimes pour lui le lion, pour sa puissance et sa grâce ../..
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Le Cheikh
Il était sublime. Ces œuvres restent pour le Sénégal entier ;
Dans son histoire, sa constitution, sa contribution à l’humanité même ;
Un trésor pour tous les hommes noirs.
Sa vie entière durant, le Cheikh Ahmadou Bamba
Resta dans son sillon vers un travail pour Alllah (Dieu Le Tout Puissant).
Ceux qui le côtoyèrent témoignent dans l’histoire Mouride,
D’un désir profond de l’approcher et de revenir vers lui
Tellement, il était éveillé et si tourné vers,
La vérité ; ses paroles étaient avérées et
Son message tourné vers l’œuvre qu’il vante
Chez chaque homme et, qui demeure
Etre p

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