JenniferLFX
A toi la première
La première fois que je t’ai aperçue
Je me suis dérobé devant ta fierté.
La fois, où j’ai pu t’approcher, j’ai eu
L’impression de pénétrerer
Dans un rêve. Je me dis encore
Qu’il faudra que je m’explique,
Tôt ou tard, comment je puis à tort
Me bercer d’illusions. Que
Puis je faire pour me défaire de
De mes freins? Que puis je dire
Pour certifier ma bonne foi? De
Ces questions naissent des erreurs
Qui me valent très chers. De
Ces doutes, je tire
Que de Critiques, que d’enseignements
Douloureux de la vie. Je le dis en en
Toute franchise : j’ai envie d’union,
J’ai envie de cette passion que
Je pense être la raison qui me lie à ton image. Aujourd’hui, quelque
Soit ton degré de certitude envers ton
Amour pour moi ; quelque soitoit
Ta capacité à me faire confiance,
Je n’ai plus en tête que ce sacerdoce
Pour moioi ;
Seul avec toi au royaume de l’amour,
Une unisson pour l’avenir et pour
Apaiser cette quête de quiétudede
Qui me vaut, depuis dede
Nombreuses années, toutes les peines
Du monde. Je me saigne
Aux quatre veines
Toutes les fois où je t’approche. Ne
Souffre pas de mes caprices!
A chaque folie sa fin. Ce
Ne sont pas mes mots qui
Détermineront ce qui
Restera de cet amour présent
Pour moi. Aussi, pour toi ces vers que je ressens.*
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Milady
Mon esprit se focalise
Malgré mes efforts sur toi.
Tes formes suffisent
Pour que je laisse ma réflexion moi,
Divaguer sur ta personne.
Tu me fais penser à toi.
Si je me donne
La permission de penser à toi,
C’est parce que je ne suis pas
Attiré par cette folie
Que serait, ma pensée vers cela
Qui serait pareil que du vol. Je me fies
A ta dignité, à ton entourage
Pour souffrir ainsi avec courage.
Telle une fleur qui oblitère
Dans mon cœur, mes artères ;
Tu m’empêcherais de respirer.
A cette heure
Si, tu étais une autre. Vers
Toi pourtant, va mon admiration.
Car, si tu n’es pas proche de moi ;
Si, tu n’es pas à moi,
Je sais que nous pourrions
Trouver le bonheur auprès
De ta maman et des
Autres de chez toi ;
Ces vers sont ainsi pour toi et moi.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
L’école des stylos.
Première vision de la vie
Depuis la nuit des temps,
Et ceci, jusqu’à présent ;
Une bouée de survie
Pour moi et pour mon humanité, en
Cela je l’ai vu sous toutes les formes
Présente chez les autres. Sa force, est comme
Destructrice puisque démesurée.
Pour Dieu, nous nous devons de bouger
Les consciences et s’attacher
A la lutte pour la renaissance
Proche et viable de l’essence
D e notre présence sur terre.
Je me dois de le dire,
Seul l’amour peut nous mener à notre point de mire.
Mouhamadou Falilou MBE NGUE
Fayçal.
Dire que tout va à merveille
Serait totalement voué,
Dans ce monde et l’espace temporel
Actuel, à combler
Ce présent vide prés de nous et qui reste auprès de chaque
Etre humain un lourd fardeau à porter. Ou
Bien alors, pour se tenir compagnie soi-même ; pour que
Plus que tout, cette solitude étouffante hier, revienne ; ou
Que l’on aille la retrouver.
La vie de deux êtres qui, s’aiment réellement d’un amour
Léger de par sa présence, ou pour
Une union sincère de par sa manifestation, vaut en étrennes milles et
Unes courses aux trésors.
Aujourd’hui, gisant dans la survie hors
Du gîte familiale,
D’une quelconque couverture sociale
Personnalisée, peut-être serait-ce, en dehors du pouvoir de séduction
Et de satisfaction de notre ego à nous, résidant dans l’Amour ; la manifestation
De notre arrivée à la jouissance
D’un travail de toujours acharné. En connaissance
De conséquences des erreurs passées,
Des heures passées au service
Des autres, nous dirigerions nous pourtant vers des
Objectifs nouveaux dans notre survie et pour quitter un certain vice.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
ESPANA
A prime abord, c’est une ville
Sans âme qui vive. Celle
Pour qui, des rois se dévouent.
.En second, c’est un pays où
La joie est de tout temps, celle
De tout le monde. Elle
Est enchanteresse, mais
Voilée de mystère. C’est
Ainsi que je l’ai approché
Et c’est ainsi qu’elle me plait.
MOUHAMADOU FALILOU MBENGUE
A toi ma puce
Sur le fait de ces malheurs passés et ces heures
Toujours perdues à te trouver
Et des prétextes et des sœurs ;
Pour aujourd’hui, éviter cette situation qui est
Hostile à notre bien-être ; certes,
Aujourd’hui je me prends dans cette
Nasse. Elle m’emprisonne.
Indubitablement, ma voix résonne
Et rappelle ma conscience à l’ordre.
Plus je t’estime et plus
L’amour que j’éprouve pour toi grandit. Fade
Un jour, l’autre elle m’éblouit de sa classe.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Madibso
Ma sœur chérie, mon amie
Tu sais que tu m’éblouies
De ta grâce, ta maturité précoce.
Tu es aînée parmi tes pairs. Ce
Poème je le tire non d’une
Quelconque inspiration mais d’une
Certaine envie qui profond
En moi, de te dire combien mon
Estime est grand pour toi. Tu es
Née en Février, le 16 et
Pourtant il m’arrive de ne
Pas te souhaiter pour ton anniversaire, une
Bonne fête. Ceci simplement par inadvertance
Par simple manque de présence
D’esprit mais, saches que je ne t’oublies
Jamais. Tu es toujours présente prés de moi chérie.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
A toi, moi. FALCOMER
De toi me vient mon amour
Pour tant de chose ! Dans cette ville,
Tant de fois ai-je cru te voir. Pour
Cela, je me dis que mon amour
Se manifeste tellement pour toi.
Sure mais subtile, elle
Me rongerait presque en mon sein ; elle,
Cette fixité de ma pensée pour toi,
Ta personne, ta gentillesse, ton humilité.
J’aimerais tant te le transmettre,
Cet état d’esprit qui m’enveloppe dés
Que je m’associe à ton image. Prés
De moi tu me mets en confiance. Etre
Ton ami signifie pour moi avoir ton alliance.
Je te devine vertueuse, intelligente, dévouée,
Sincère mais aussi acharnée envers tout ce
Qui se trouve être en contradiction
Avec tes principes. Je sais surtout
Que tu as un comportement et surtout
Une manière d’être qui me séduisent. Sont
Aussi présentes dans mon quotidien
Ces quelques moments où en
Se côtoyant, j’ai pu te voir comme telle
Que je t’estime à cette heure. Celle
Qui me hante, celle qui me soutient, celle
Qui m’éveille, celle qui me conseille
J’aimerais les associer en toi,
Je voudrais que ce soit toi.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Mame Fama
Ma joie certes, de courte durée
Avec toi s’est transformé
Mame, en espoir.
Il grandit de jour en jour. Il faut savoir
Fama que je t’aime très fort.
A toi je voudrais lire ces vers,
Mot à mot. Outre Tabara Diaw ta mère,
A papa il faut dire : je t’aime très fort !
MBENGUE Mor !
AMOUR
Dans sa beauté se cache,
Des désirs, des pensées inavouées.
Comme se plaisent à le dire ceux qui s’en cachent,
L’accalmie avant la tempête et
La tempête avant l’accalmie
Peuvent détruire tout homme doté
D’un cœur pur. Ces sensations sont certes vouées
A apprendre à supporter la présence dans sa vie,
D’une autre personne. Ainsi, l’on se cache derrière
Milles et une excuses pour arriver sur terre
A tout ce qui nous y est promis.
Toutefois, à comme notre corps rejette
Tout élément extérieur, on gît
Avec une perpétuelle envie de se débarrasser de cette
Charge. Pourtant, un message de l’enseignement
De la vie nous y associe. Car, quitte à vivre en
Communauté, autant vivre avec eux, ceux
Que l’on supporte. Pour eux,
Les enfants qui sont le fruit de l’union
Entre deux personnes qui s’aiment et qui vivent en communion.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Paris
Dans cette ville au rythme effréné,
Aussitôt que j’y ai pris mes marques,
Mes envies se sont décuplées.
En même temps, je ne puis que
Les tempérer au jour le jour.
Rien n’y est facile et
De plus en plus, de jour en jour,
Je découvre plus clairement et avec une lucidité
Et un discernement qui me sont imposés au détour
De tous mes itinéraires, mes faiblesses,
Mes insuffisances. Pourtant, quand je me surprend
A réussir là où je pêchais, je me dis
Que seul le travail paie. Aujourd’hui
Je sais que loin de sa patrie, l’on se prend
Forcément en main. On vit
Dans un esprit de survie et le quotidien nous y gît.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Elle.
Elle me prend par le collet,
La plupart du temps. Elle me fait
On ne peut plus mal quand elle prend son
Désir pour un ordre, dans ma vie de séducteur. Son
Instinct de femme fatale la rend
Extrêmement forte devant
Moi. Pour une amitié que je trouve
Un jour pour la perdre le reste du temps, nos
Routes se séparent. Je veux
Savoir ce qui se trouve derrière vos
Impétueux désirs de soulager mes douleurs.
A cause de ta flamme je me leurre
Ne serait-ce que devant mes peurs, de façon
Onéreuse ; si je puis me permettre, A toi quel pardon ?
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Khadijatou MBENGUE
Kilifa chez le prophète (PSL),
Homme intègre et incarnation du courage ;
Amour pour son entourage,
De tout cœur je te souhaite
Y compris à tous les musulmans, la protection de ton homonyme.
Ma petite sœur à moi, des
Blâmes tu n’en mérites point.
Et pour cause, tu es
Né sous le signe de celles qui ne renoncent point.
Gagner un trophée équivaudrait pour moi à te voir
Un jour ou l’autre récompensée de ton mérite, à savoir
Etre une femme de forte personnalité avec des valeurs en voie d’extinction.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
FATIGUE
En ce moment, je gît
Presque dans le désespoir.
Uni avec mes proches, je me fies
Inutilement à mon cœur. L’espoir
Servant à vivre, je me suis
Et ce, depuis longtemps dis ;
Même si je tarde à me trouver ;
Et, même si ma force n’y suffit
Non plus pas, que je trouverais
Toujours la clé de notre survie.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Ma chiquita
Elle est polie et m’émeut.
Elle est parmi d’autres et,
Elle est avec sa personne. Eux,
Qui la dévisage où ces
Personnes qui la rétrogradent
Sont toutes à ces pieds
Dès qu’elle sourit. De
Ces quelques mots, je n’ai
Point la prétention de
L’asseoir sur un pied égal
A celui de ceux-là. De
Mon plaisir à l’observer, mon mal
Je tire. Elle n’est point timide ;
Alors, je me cache derrière
Ma propre timidité.
Je suis conquis par sa lucidité
Et, j’espère qu’elle trouvera son bonheur sur terre.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Coup de foudre
Au bout d’une bataille épique,
J’ai rencontré ma dame de pique.
Sous un incroyable masque de fer,
J’ai rencontré un être à la fois farouche et fragile.
Je ne suis plus sur terre ni, sur mer.
Car, dans son regard de femme fatale ;
J’ai découvert une nouvelle galaxie.
Pire qu’un esclavage mental,
Incurable me paraît ma nouvelle maladie.
J’ai trouvé un nouveau objectif dans ma vie.
Car, je sais maintenant que l’invaincue
Ne sera pas vaincue mais convaincue.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Mame Diarra Bousso MBENGUE
Grandit ma chérie
Je te veux épanouie
Fière de toi à tout
Moment. Partout où
Tu passes, saches que
Tu es de ceux qui doivent
Relever la tête. Tu es brave
Gamine ; parce que
Tu n’es pas intéressée.
Toujours à l’écoute et
Aux soins pour les autres,
Je te connais telle et entre
Nous, je te préfère comme telle.
Rien ne sert d’être
Pressée, de vouloir être
Grande ; elle la vie, nous
Réserve à chacun une chance à saisir pour tout.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
JENNIFER
Telle une femme
Que j’adorais dans ses bonnes
Humeurs, je te donne
En toute conscience ce qui même
Dans mes rêves galope.
Je sais que tu es vertueuse,
Travailleuse et cela, enveloppe
Les espoirs que j’avais pour elle. Je ne puise
Dans mon travail que pour
Te montrer que mes efforts sont pour
Toi, mon espoir. Tu es
Pour moi un idéal car,
Je sais ce que bâtard
Et autres choses voudront et
Ne pourront jamais signifier.
Ce ne sont que des choses
Infestant nos vies de scrupules. Et,
Je ne fais cela que pour mes fils, mes phases
Eternelles de recommencement
Reprises par mes phrases et, cela au moment
Où je me sens accablé
Par le destin. Mes
Torts sur terre
Pourraient bien briser
Leurs élans. Telle une serre
Pourtant, elle et
Sa sœur Sandra nous dominent. Mes
Elans pour la religion et
Parce que bien dévoué, j’ai un homme
De fer derrière moi ; parce que j’ai pêché, nomment
Non mes envies mais en somme, mes
Grandes préoccupations.
Mais, une fois que nous trouverions
Belle, la clé d’un bonheur et
Eternellement, la paix pour
Ne serait-ce que, toi et moi ; pour
Graver nos noms dans une histoire et,
Une fois pour toutes, dater nos erreurs,
Est-ce que tu voudrais bien-être comme ma sœur ?
Ne serait-ce que pour les religions.
On ne peut oublier de le nommer,
Ne s’appelle t-il pas Serigne Cheikh Saliou MBACKE ; ma passion !
Mouhamadou Falilou MBENGUE
Jennifer
Jamais plus je ne pourrais être pour t’écrire ;
Etre pour elle et avec elle et ma prose.
Ne suis-je pas celui qui limite tes entreprises ?
Ne suis-je pas trop amoureux pour toi ? T’écrire,
Indubitablement me rend vers cette population
Faible de te dire que je t’aime.
Est-il bon de le faire ? Je prime
Rarement l’orgueil des autres, mais tu mérites mon pardon
Pour Tout.
Rémission
Je me suis cru dans un sillon pour
Travailler pour les autres. Je me suis pris pour
Celui que tout le monde voulait voir en moi
Et, plus encore recherchait en moi.
Je me suis dis que
Tout ce que je voudrais serait d’être celui que
Je veux vraiment être.
Je me suis aussi présenté
Pour dire que tout ce que j’ai
Sur le cœur pour ma patrie, mes
Peines, étaient lourdes à supporter.
Autour de chaque entreprise pour y arriver,
Vivre avec les autres ; j’ai
Appris à survivre dans la sollicitude et plus la solitude,
La combativité et pour mon adversité,
A rechercher ma vie qui me réussit. Mon nom et,
Tout ce que l’on connaît de
Moi, est de toujours
Etre et demeurer pour
Les objectifs de ma vie une toupie ;
Pour m’échapper à la fois avec ce que j’ai pu
Tirer de mon éducation et plus dans ma vie
A tout ce que je peux appeler mon vécu ;
Vers une autre expérience de la vie.
Il me faut être pour tout le monde que je côtoie
Dans mes épreuves de survie. Soit,
Aujourd’hui suis-je celui qui est
Au centre de réflexions et de doutes dans
Mes expériences. Aussi, je me demande en
Voulant poursuivre mon instruction, que ferait
Ma future personnalité pour retrouver la paix
De là d’où je viens ? Et,
Parce que des
Hommes forts comptent beaucoup
Vivre de leurs fruits, j’ai du être
En conformité avec mon adhésion à beaucoup
D’idéaux de ma famille ; pour être
Avec elle et ceux qui me supportent, garant
De tant de modèles de vie
Que je pense aujourd’hui
A ne plus retourner vers mon origine
Dans toute cette gent humaine
Qui passe du temps à me le rappeler.
D’une grande descendance je viens pourtant. Et,
Pour ce qui devrait
Etre de ma vie de religieux,
Je pense que tout ce que j’ai de pêchés
Envers l’intégrité religieuse sera, pour eux
Et de toutes les manières un fardeau
Qui ne m’émanciperait pas de mes fautes, de mes défauts ;
De mon arrivée à un monde sans
Frontière pour ma personne. Dans
Ce pays qui m’aide, mon appartenance est
Une barrière envers mon entrée
Dans ce cercle que je n’ai pas encore pénétré et
Qui me reste fermé et, pour cause j’ai pêché :
Le cercle religieux. Je ne suis point
De ceux qui n’ont pas le droit à la
Parole. Toutefois, ma participation loin
De ma terre natale, à
Des décisions pour tout un chacun, devra
Passer par ma
Raison et ma manière de ne
Pas perdre encore plus, la face devant
Tout ceux qui ne
Désirent pas être du même côté en
Même temps que ma personne.
En cela, dans mon cœur ce qui résonne.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
AFRICA
Pour une unité au galop,
Pour une entente cordiale
Des hommes se rassemblant ; elles,
S’épaulant et l’Afrique trop
Vieillissante, je me suis tut.
Parce qu’une union n’est
Jamais sans douleur ; je fus
Trop aveugle pour ces
Ames qui souffrent.
Aujourd’hui, je me meurs
Dans les souffrances de ceux
Qui l’aiment.
Elles sont si braves ;
Eux, si courageux ;
Ils sont si perdus, je
Souffre et je voudrais pour eux,
Que cela mette fin
A leurs veines errances.
Pour ceux qui n’ont jamais faim ;
L’Afrique ne se terra jamais.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
La vie
Pour tout bon croyant, elle signifie
L’accomplissement de son œuvre, au
Bon Dieu. Colossal, il se déroule au
Cours de la vie de la personne. Sa vie
Elle peut la vivre de milles manières,
La personne. Toutefois, il ait
Des barrières entre la vision de la terre
Promise aux projets de la personne et
Celle des faits de sa propre vie. Le
Cours du fleuve de la survie révèle
La plupart du temps l’essentiel des réponses
Aux questions du commun des mortels.
Ainsi, c’est aux plus méritants tels
Les plus pieux, les plus coriaces
Face aux défaites qu’elle nous
Fait subir, que la vie nous offre les
Bienfaits du mystère de la création. Nous
Pouvons aussi nous retrouver
A cause des malheurs qu’elle renferme,
A essayer de repousser la mort.
Malheureusement, c’est à ce moment qu’elle sème
La discorde dans le cœur de ces mortels. Or,
Toutes les fois où l’on veut le nier,
La mort vient nous rappeler
Son existence. Cruelle,
Elle se charge de s’inviter dans le monde réel.
Mouhamadou Falilou MBENGUE
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